La présente norme européenne définit les exigences d'aptitude à l'emploi des protecteurs individuels de l'oeil de types divers. Elle est applicable à tous les types de protecteurs individuels de l'oeil utilisés contre les divers dangers, pouvant être rencontrés dans l'industrie, dans les laboratoires, etc. , susceptibles d'endommager l'oeil ou d'altérer la vision, à l'exception des rayonnements d'origine nucléaire, des rayons X, des émissions laser et des rayonnements infrarouges (IR) émis par des sources à basse température.
La fonction des protecteurs oculaires est de fournir une protection contre:
Des exigences optionnelles, susceptibles de se révéler bénéfiques pour l'utilisateur pour des raisons opérationnelles, sont données pour certaines caractéristiques supplémentaires des protecteurs de l'œil.
Cette norme européenne comporte, par référence, des dispositions d'autres publications.
La présente norme européenne spécifie les numéros d'échelon et les exigences relatives au facteur de transmission des filtres destinés à assurer la protection d'opérateurs effectuant les travaux concernant le soudage, le soudobrasage, le gougeage à l'arc avec jet d'air comprimé et le coupage au jet de plasma. Il comprend également les spécifications relatives aux filtres de soudage à double numéro d'échelon.
Pour assurer la protection personnelle de l'opérateur, le filtre doit être monté dans un protecteur oculaire approprié. De nombreux facteurs interviennent dans le choix du numéro d’échelon d'un filtre pour le soudage ou pour les techniques connexes :
Cette norme européenne spécifie les numéros d'échelon et les exigences relatives au facteur de transmission des filtres de protection contre le rayonnement ultraviolet.
Cette norme européenne spécifie les numéros d'échelon et les exigences relatives au facteur de transmission des filtres de protection contre le rayonnement infrarouge.
Le numéro d'échelon des filtres pour l’infrarouge se compose du code 4 plus la classe de protection du filtre (de 1,2 à 10) :
Les filtres pour l’infrarouge doivent protéger l'utilisateur contre le rayonnement infrarouge tout en lui permettant une bonne visibilité de la tâche visuelle en cours. Il est important de veiller à ce que les coordonnées chromatiques des filtres soient compatibles avec une bonne reconnaissance des couleurs.
Cette norme spécifie les numéros d'échelon et les exigences relatives au facteur de transmission des filtres solaires à usage professionnel.
Le numéro d'échelon d'un filtre de protection solaire est composé par le code 5 (filtre sans spécification dans l'infrarouge) ou 6 (filtre avec spécification dans l'infrarouge) plus la classe de protection du filtre :
La présente norme européenne spécifie les méthodes d'essais optiques pour les protecteurs oculaires dont les spécifications sont données dans d'autres normes européennes.
La présente norme européenne spécifie les méthodes d'essais autres qu'optiques pour les protecteurs de l'œil dont les spécifications sont données dans d'autres normes européennes.
La présente norme européenne est applicable aux protecteurs de l'oeil utilisés contre les rayonnements laser tels que définis dans la norme 60825-1 (le rayonnement de diodes électroluminescentes [LED] est inclus) dans le domaine spectral compris entre 180 nm (0,18 μm) et 1 000 μm. Elle définit les spécifications, les méthodes d'essai et le marquage.
Marquage : Pour l’identification, les éléments suivants doivent être marqués de manière durable sur les filtres ou les montures :
La présente norme européenne s'applique aux filtres et protecteurs de l'oeil de réglage laser. Il s’agit de filtres et de lunettes de protection utilisés pour les travaux de réglage des lasers et des systèmes laser, pour lesquels le rayonnement dangereux se produit dans le domaine spectral visible compris entre 400 nm et 700 nm. Les filtres relevant de la présente norme européenne permettent une atténuation du rayonnement jusqu'aux valeurs spécifiées pour les lasers de la classe 2.
Cette norme européenne définit spécifications, les méthodes d'essai et le marquage.
Marquage : Pour l’identification, les éléments suivants doivent être marqués sur les filtres ou les montures :
Cette norme européenne définit les prescriptions relatives aux matériaux, à la conception, aux exigences d'efficacité, aux méthodes d'essai et au marquage des protecteurs de l'œil et de la face de type grillagé. Elle n’est pas applicable aux protecteurs de l'œil et de la face utilisés contre les projections de liquide, les solides chauds, les risques électriques, les rayonnements infrarouges ni ultraviolets.
Le matériau du protecteur de l’œil et de la face grillagé doit être : résistant à la corrosion, à l'inflammabilité et aux produits de nettoyage et de désinfection. En plus, il doit garantir la sécurité des matériaux, et le nombre minimum de trous dans 15 cm2 de maille.
Le marquage des protecteurs de l’œil et de la face de type grillagé doit contenir les informations suivantes :
La norme européenne EN352 «Protecteurs individuels contre le bruit - Exigences générales - Bouchons d'oreilles» établit les exigences pour les dispositifs individuels de protection contre le bruit en relation avec la Directive 89/686/CEE relative aux équipement de protection individuelle.
L'exigence particulière relative à la capacité des protecteurs contre le bruit à réduire le bruit en-dessous des niveaux limites quotidiens est abordée dans la présente norme qui fixe l'affaiblissement acoustique des protecteurs à un niveau minimal spécifié. Cette partie de la norme spécifie les exigences en matière de construction, de conception, de performance, de marquage et d'information de l'utilisateur pour les bouchons. Elle spécifie tout particulièrement l'affaiblissement acoustique des bouchons. Elle concerne principalement les performances physiques et acoustiques des bouchons. Cette norme traite des bouchons d'oreille jetables, réutilisables, moulés individuels et reliés par un arceau.
Les informations suivantes doivent être fournies avec les bouchons :
La norme européenne EN352 -1 spécifie les exigences en matière de construction, de conception, de performance, de marquage des casques, ainsi que les informations destinées à l'utilisateur. Elle spécifie tout particulièrement l'affaiblissement acoustique des casques. Cette partie de la norme ne traite pas des coquilles destinées à être montées sur un casque de sécurité ou des coquilles intégrées à un casque de sécurité.
Les informations suivantes doivent être fournies avec les casques :
Un équipement de protection respiratoire donné ne peut être approuvé que si les composants individuels satisfont aux exigences des spécifications d'essai, et que si des essais pratiques de performance ont été exécutés avec succès avec l'appareil complet, lorsque ces essais sont prévus dans la norme appropriée.
Cette norme européenne spécifie les exigences minimales des demi-masques et quarts de masque destinés à être utilisés avec les équipements de protection respiratoire. Il contient des essais en laboratoire et des essais pratiques de performance qui permettent d’évaluer la conformité aux exigences.
Un demi-masque est un adaptateur facial qui couvre le nez, la bouche et le menton. Un quart de masque est un adaptateur qui couvre le nez et la bouche. L'air pénètre à l'intérieur de l’adaptateur facial qui couvre le nez et la bouche. L'air expiré est expulsé directement dans l'environnement à travers d’une ou plusieurs soupapes expiratoires.
Voici les exigences auxquelles doivent répondre tous les échantillons testés :
Informations pour l'utilisateur :
Cette norme européenne spécifie les filtres à particules destinés à être utilisés comme composants de remplacement pour les équipements de protection respiratoire non assistés, à l’exception des équipements destinés à l’évacuation et des masques autofiltrants.
L'air pénètre dans le filtre à particules et passe dans la pièce faciale après retrait des particules. Les filtres à particules sont classés en : P1, P2 et P3 dans l'ordre ascendant d'efficacité.
Les filtres doivent satisfaire aux exigences suivantes dans tous les essais, sur tous les échantillons :
Cette norme européenne s'applique aux filtres anti-gaz et des filtres combinés destinés à être utilisés comme composants de remplacement pour les équipements de protection respiratoire non assistés. Les filtres contre le CO sont exclus du présent document.
L'air pénètre par un ou plusieurs filtres anti-gaz ou filtres combinés et passe dans la pièce faciale après retrait des gaz et des vapeurs, ou des gaz, des vapeurs et des particules.
Types de filtre :
A : Protection contre certains gaz et vapeurs organiques dont le point d'ébullition est supérieur à 65 ºC.
B : Protection contre certains gaz et vapeurs inorganiques.
E : Protection contre le dioxyde de soufre et autres gaz et vapeurs acides.
K : Protection contre l'ammoniac et ses dérivés organiques.
AX : Protection contre certains gaz et vapeurs organiques dont le point d'ébullition est inférieur ou égal à 65 ºC. Ce sont des filtres non réutilisables.
SX : Protection contre gaz et vapeurs spécifiques.
Filtres à gaz multiples : Il s'agit d'une combinaison de deux ou plusieurs des filtres ci-dessus, à l'exclusion des filtres de type SX.
Filtres combinés : Filtres à gaz ou filtres multiples incorporant un filtre à particules.
Les filtres à gaz de type A, B, E et K sont classés en fonction de leur capacité :
Cette norme européenne spécifie les exigences de performance, les méthodes d'essai et les exigences de applicables aux demi-masques filtrants pourvus de soupapes et de filtres antigaz ou combinés, utilisés comme équipements de protection respiratoire. Elle ne s'applique pas aux demi-masques filtrants antigaz dépourvus de soupapes ou uniquement pourvus de soupapes expiratoires.
Un demi-masque filtrant à soupape couvre le nez, la bouche et le menton ; il est doté de soupapes inspiratoires et expiratoires. Il se compose d'un matériau filtrant ou d'une pièce faciale dans laquelle le filtre à gaz constitue une partie intégrante de l’équipement, tandis que les filtres à particules peuvent être remplacés. L'équipement est jetable. Une fois que le filtre est saturé, il n'est pas prévu que l'équipement soit équipé de composants d'exhalation.
Type de demi-masques filtrants à soupapes contre les gaz :
Marquage : Les demi-masques filtrants à soupapes contre les gaz et pourvus de filtres à particules intégrés doivent être identifiés à l'aide des informations suivantes :
Cette norme européenne spécifie les exigences minimales des masques complets destinés à être utilisés comme équipements de protection respiratoire.
Un masque complet est un adaptateur facial qui couvre les yeux, le nez, la bouche et le menton. L'air pénètre dans le masque par le connecteur et passe directement dans la zone de la bouche et du nez.
La présente norme définit trois classes de masques complets, qui diffèrent en fonction de leurs applications :
La présente norme européenne spécifie les exigences minimales des demi-masques filtrants utilisés comme équipements de protection respiratoire contre les particules, à l’exception des équipements destinés à l’évacuation.
Un demi-masque filtrant couvre le nez, la bouche et le menton, et peut être doté des soupapes inspiratoires et/ou expiratoires. Il se compose d'un matériau filtrant ou inclut une pièce faciale dans laquelle le filtre constitue une partie intégrante de l’équipement. Le demi-masque filtrant doit être étanche. L'air pénètre dans le demi-masque filtrant et passe directement dans la zone de la bouche et du nez ou, le cas échéant, passe par une soupape inspiratoire. L'air expiré sort directement dans l'atmosphère ambiante. Ces dispositifs sont conçus pour assurer la protection contre les aérosols solides et liquides.
Les demi-masques filtrants sont classés selon leur efficacité de filtration et leur fuite totale maximale vers l'intérieur. Il existe trois classes de dispositifs : FFP1, FFP2 et FFP3.
La présente norme européenne précise les exigences physiques et de performance, les méthodes d’essai et les exigences de marquage pour les casques de protection pour l’industrie. Les exigences obligatoires s'appliquent aux casques d’usage courant utilisés dans l’industrie. Les casques de protection pour l'industrie sont destinés à protéger le porteur contre les chutes d'objet et les blessures à la tête et traumatismes crâniens consécutifs.
Les casques de sécurité industriels doivent porter le marquage suivant :
La présente norme européenne est applicable aux casques électriquement isolants utilisés pour le travail sur ou près de parties sous tension d’installations ne dépassant pas 1 000 V en courant alternatif ou 1 500 V en courant continu.
Ces casques, lorsqu'ils sont utilisés simultanément à d'autres équipements de protection électriquement isolante, empêchent les courants dangereux de traverser les personnes par la tête. Les casques utilisés à proximité d'installations électriques doivent être classés comme suit : Classe électrique 0, pour l'utilisation dans des installations dont la tension nominale est inférieure ou égale à 1000 V CA et 1500 V CC.
Le marquage complémentaire à celui exigé par la norme des casques électriquement isolants doit être le suivant :
En plus, chaque casque doit être accompagné d'instructions d'utilisation contenant les informations nécessaires pour l'utilisation, l’entretien et le risque relatif aux limites d'efficacité de l'isolation électrique selon les conditions d'utilisation.
Les casquettes anti-heurt pour l'industrie sont destinées à protéger le porteur lorsque sa tête vient heurter des objets durs et immobiles avec suffisamment de force pour provoquer des lacérations ou autres blessures superficielles. Elles ne sont pas destinées à protéger des effets des projections ou chutes d'objets ou des charges suspendues ou en mouvement.
Le marquage qui doit figurer sur la casquettes anti-heurt est le suivant :
Cette norme européenne est une norme de référence à laquelle se réfèrent les normes européennes spécifiques relatives ou applicables aux gants de protection. Elle spécifie les exigences générales et méthodes d'essai concernant la construction et la conception du gant, la résistance du matériau du gant à la pénétration de l'eau, l'innocuité, le confort et l’efficacité, le marquage et l'information fournie par le fabricant applicable à tous les gants de protection.
Chaque gant de protection doit porter les informations suivantes :
Cette norme européenne spécifie les exigences, méthodes d'essai, marquages et informations à fournir concernant les gants de protection contre les risques mécaniques d'abrasion, de coupure par tranchage, de déchirure et de perforation. Le présent document est destiné à être utilisé conjointement avec la norme EN 420.
Un gant de protection contre les risques mécaniques doit avoir un niveau de prestation égal ou supérieur à 1 pour au moins une des propriétés (abrasion, coupure par tranchage, déchirure et perforation).
Les propriétés mécaniques du gant doivent être indiquées par le pictogramme de risques mécaniques suivi de quatre chiffres indiquant les niveaux de performance.
Cette norme spécifie les exigences relatives aux gants de protection servant à protéger l'utilisateur contre les produits chimiques dangereux et les micro-organismes, et définit les termes à utiliser. Le présent document est destiné à être utilisé conjointement avec la norme EN420. Cette norme ne spécifie aucune exigence de protection contre les risques mécaniques.
Les exigences de performance pour les gants de protection contre les produits chimiques et/ou les micro-organismes sont les suivantes :
Le marquage des gants doit être effectué conformément aux exigences indiquées dans la norme EN420. Le pictogramme approprié doit être utilisé.
Cette norme européenne spécifie les exigences et méthodes d'essai des gants médicaux non réutilisables (c'est-à-dire des gants de chirurgie et des gants d'examen et de soins), afin de garantir qu'ils assurent et conservent pendant toute la durée de leur utilisation un niveau de protection suffisant contre toute contamination croisée, à la fois pour le patient et pour l'utilisateur. Sous le titre général « Gants médicaux non réutilisables », la norme EN455 comprend les parties suivantes :
1) Exigences et essais pour déterminer l’absence de trous
2) Exigences et essais pour la détermination des propriétés physiques
3) Exigences et essais pour l'évaluation biologique
4) Exigences et essais pour la détermination de la durée de vie.
Cette norme précise les exigences générales d’ergonomie, d’innocuité, de durée, de vieillissement, de désignation de tailles et de marquage des vêtements de protection et donne les informations que doit fournir le fabricant.
Marquage générique. Chaque vêtement de protection doit être marqué :
Marquage spécifique. Il doit comporter les informations suivantes :
Cette norme précise les exigences de performance relatives aux vêtements fabriqués avec des matériaux souples, conçus pour protéger le corps de l'utilisateur, sauf les mains, contre la chaleur et/ou les flammes. Pour la protection de la tête et des pieds, les seuls éléments de protection compris dans cette norme internationale sont les guêtres, les cagoules et les surbottes.
Parmi les nombreux dangers énumérés dans la présente norme internationale, il existe trois niveaux :
Pour la protection contre l'exposition extrême à la chaleur radiante, il existe un quatrième niveau qui prévoit l'utilisation de matériaux à haute performance tels que les matériaux aluminisés.
Cette norme couvre un large éventail d’utilisations finales ; la performance est donc indiquée par différents indices :
A : Comportement face aux flammes, essais de propagation de flamme limitée (A1/A2)
B : Chaleur convective (niveaux 1 à 3)
C : Chaleur radiante (niveaux 1 à 4)
D : Projections d'aluminium en fusion (niveaux 1 à 3)
E : Projections de fonte en fusion (niveaux 1 à 3)
F : Résistance à la chaleur de contact
Le marquage doit comporter les informations suivantes :
Cette norme précise les exigences relatives à l'ergonomie, à l'innocuité, à la désignation de tailles, au vieillissement, au compatibilité et le marquage des vêtements de protection, et à l'information que doit fournir le fabricant avec les vêtements de protection. Cette norme ne peut pas être utilisée séparément, elle doit être utilisée en combinaison avec une autre norme qui précise les exigences spécifiques pour les performances de protection.
Marquage générique. Chaque vêtement de protection doit porter les informations suivantes :
La présente norme européenne spécifie les exigences minimales demandées aux types suivants de vêtements de protection chimique à usage limité ou réutilisables :
Les vêtements de protection chimique doivent être marqués avec au moins les informations suivantes :
Cette partie de la norme ISO 13982 spécifie les exigences minimales pour les vêtements de protection chimique résistant à la pénétration de particules solides en suspension dans l'air (Type 5). Ces vêtements protègent tout le corps. Cette partie de la norme ne s'applique qu'aux particules solides en suspension dans l'air. Il est nécessaire de déterminer l'adéquation des vêtements de type 5 à chaque substance chimique spécifique et les limites d'exposition acceptables pour chaque substance par rapport aux fuites vers l'intérieur.
Le matériau doit répondre aux mêmes exigences que celles spécifiées dans la norme EN 4325 (tableau dans la norme EN 14605:2005).
Les vêtements de protection chimique doivent être marqués avec au moins les informations suivantes :
Le présent document spécifie les exigences minimales pour les vêtements de protection chimique à usage limité et réutilisables à performance limitée. Les vêtements de protection contre les produits chimiques à performance limitée sont destinés à être utilisés en cas d’exposition potentielle à de légères pulvérisations, à des aérosols liquides ou à des éclaboussures à faible volume et à faible pression lorsqu’une barrière complète contre la perméation des liquides n’est pas requise. Ce document comprend les vêtements de protection chimique (Type 6) ainsi que la protection partielle du corps (Type PB[6]).
Les vêtements de protection chimique doivent être marqués avec au moins les informations suivantes :
Cette norme européenne spécifie les exigences et méthodes d'essai pour les vêtements de protection qui protègent le porteur de la contamination radioactive sous forme de particules. Elle ne s'applique pas à la protection contre les rayonnements ionisants ni à la protection des patients contre la contamination par des substances radioactives résultant de mesures diagnostiques et/ou thérapeutiques.
Le marquage des vêtements de protection doit comporter les informations suivantes :
Cette norme précise les exigences et méthodes d'essai pour les vêtements de protection contre les agents biologiques. Les vêtements de protection contre les agents infectieux sont conçus pour protéger contre les agents biologiques, non seulement contre les bactéries, les virus et les parasites, mais aussi contre les particules sub-virales. Ce type de vêtement appartient à la Catégorie III des équipements de protection individuelle.
Le marquage des vêtements de protection doit comporter les informations suivantes :
Cette norme européenne spécifie les exigences relatives aux matériaux et à la conception des vêtements de protection à dissipation électrostatique utilisés avec un système de mise à la terre dans le but d'empêcher les décharges incendiaires. Ces exigences peuvent se révéler insuffisantes dans les atmosphères inflammables enrichies en oxygène. Sous le titre général « Vêtements de protection », la présente norme se compose des parties suivantes : Propriétés électrostatiques :
Le marquage des vêtements de protection doit comporter les informations suivantes :
Cette norme européenne spécifie les prescriptions de sécurité relatives aux rideaux, lanières et écrans transparents utilisés pour la protection des lieux de travail situés à proximité de zones où sont appliqués des procédés de soudage à l'arc. Ces éléments sont conçus pour protéger le personnel non impliqué dans le processus de soudage contre le danger des rayonnements et projections émis par l'arc.
Ils doivent satisfaire aux exigences suivantes :
Pour une identification et une utilisation correctes des rideaux, des lames et des écrans de soudure, leur marquage doit être permanent. Le marquage doit être visible, avec des lettres d'au moins 10 mm de haut. Le marquage comprend le numéro de la norme, la marque de certification. Le nom du fabricant ainsi que l'année et le mois de fabrication.